Retour au portail Portail    Connexion Connexion    S'enregistrer S'enregistrer    Annuaire Annuaire    Guide du BBCode Guide du BBCode    Guide du forum Guide du forum  
Répondre au sujet  Revue de presse  Morsures à la crêche 
 Voir le sujet précédent   Voir le sujet suivant 
 Christeo est absentChristeoSexe : Féminin 



Message  23.11.2023 02:07:40  Morsures à la crêche  Répondre en citant  



 Bidibulle est absentBidibulleSexe : Féminin 
Modératrice



Message  23.11.2023 10:07:20   Répondre en citant  

Une morsure je dis pas mais là........... :s-chercher:
 Debie est absentDebieSexe : Féminin 



Message  23.11.2023 17:40:42   Répondre en citant  

les morsures émaneraient elles bien d'un autre enfant ?

pfffffffff ben non il s'est fait ça tout seul !!!!

même s'ils se rattrappent aux branches à la phrase d'après, comment ont ils pu penser ça ?????

bande de bouffons ! faut assumer pas juste encaisser !!
 Clochette est absentClochetteSexe : Féminin 



Message  24.11.2023 15:16:00   Répondre en citant  

pauvre gamin.......
je m'imagine la maman quand elle a vu son enfant !
 eden est absentedenSexe : Féminin 



Message  24.11.2023 21:05:30   Répondre en citant  

j'ai vu aux infos régionales.......
pov bibou, il était tout marqué.
mais comment autant de morsures ? ou alors ils s'y sont mis à plusieurs, c'est pas possible !
 Marguerite est absentMargueriteSexe : Féminin 



Message  25.11.2023 09:45:36   Répondre en citant  

j'arrive pas à comprendre.......
personne n'a rien entendu ? pourtant il a dû hurler, pleurer !
 Bidibulle est absentBidibulleSexe : Féminin 
Modératrice



Message  26.11.2023 09:18:10   Répondre en citant  

Citation :
Un peu plus d’une semaine après l’incident, le petit Sacha va mieux selon sa famille.

Forcément chamboulés par les évènements, les parents ont dû gérer diverses sollicitations en quelques jours (mairie, directeur d’établissement, médias).

En attendant, une enquête a été ouverte par le parquet de Grasse pour tenter d’y voir plus clair, à la suite de la plainte déposée par cette mère de famille.
Deux autres enquêtes seraient également en cours: une menée par la Protection maternelle et infantile, service départemental, l’autre diligentée en interne par la Mutualité française, gestionnaire de l’établissement.

Des membres de la première entité seraient déjà venus sur site et quelques modifications auraient été actées. L’agencement du dortoir aurait notamment été revu.

Contacté, ce vendredi 24 novembre par Nice-Matin, le directeur général de la Mutualité française Paca a assuré penser "aux parents et à l’enfant" et promettre des sanctions "en cas de fautes constatées à la suite de l’enquête".

Invité à s’exprimer sur les morsures subies par l’enfant, Laurent Cayot a préféré couper court.

"C’est un incident dont on se soucie, [mais] nous réservons avant tout les résultats de cette enquête à la famille, aux partenaires et aux institutions. Des mesures ont été et seront prises afin que ce regrettable incident ne se reproduise plus au sein de nos crèches."

Relancé sur le sentiment de mal-être ressenti par une partie des employées, le dirigeant a indiqué préférer s’exprimer "dans quelques jours".

Maire de Vence, Régis Lebigre assure de son côté suivre la situation de près : "On a envoyé un courrier à la Mutualité française pour leur demander des explications", informe l’édile.

Le 1er décembre, il doit également recevoir la directrice générale de l’entité en mairie, notamment pour en savoir plus sur "les mesures correctives prises afin de renforcer la sécurité des enfants".
 norma est absentnormaSexe : Féminin 



Message  26.11.2023 18:16:16   Répondre en citant  

Didiou !!!

mais c'est grave ça !
je ne comprends pas comment il a pu avoir autant de morsures (une vingtaine) !
 Christeo est absentChristeoSexe : Féminin 



Message  27.11.2023 02:33:31   Répondre en citant  

Citation :
Usées psychologiquement, des professionnelles de la crèche Arman à Vence ont voulu s’exprimer après les morsures subies par un enfant, le 16 novembre. Elles parlent d’un "drame" qui pourrait se reproduire au vu des conditions de travail.

C’est un mal-être décrit comme général. Une forme de malaise, aussi, dans les couloirs d’un établissement pourtant égayés par la présence de dizaines d’enfants.

Depuis le jeudi 16 novembre, le quotidien n’est plus tout à fait le même à la crèche Arman de Vence. Ce jour-là, une mère de famille a découvert le visage (et le corps) tuméfié de son petit au moment de le récupérer.

Quelques heures plus tôt, Sacha avait été mordu à de nombreuses reprises par un autre enfant.

"Je l’ai vu complètement défiguré, racontait Salomée, la maman, le 22 novembre dans Nice-Matin. On aurait cru qu’il avait fait un combat de boxe". Des faits graves et traumatisants qui l’ont poussé à déposer plainte.

En interne c’est l’onde de choc. Le personnel est marqué. Certaines employées ont donc décidé de s’exprimer dans nos colonnes. De raconter ce qu’elles vivent et ce qu’il s’est passé ce jour-là.

"Aucun parent ne devrait récupérer son enfant dans l’état dans lequel était Sacha, tient d’abord à déclarer Sonia* (les prénoms ont été modifiés). C’est désolant, ça ne devrait pas arriver. On imagine mal un enfant infliger de telles blessures. C’est du jamais vu."

Ces femmes sont touchées, marquées. "On parle de ce drame mais pas de la souffrance qu’il a engendrée dans l’équipe, pointe Dominique*. Pourquoi en est-on arrivé là? Il faut connaître le contexte."

Les faits se seraient produits en fin de sieste et auraient échappé à la vigilance de l’équipe. "Les collègues n’étaient pas suffisamment nombreuses pour maintenir une surveillance constante dans le dortoir", regrette l’une d’elles.

"Il y a quelqu’un qui passe toutes les cinq minutes, qui surveille et qui signe une feuille pour matérialiser son passage. Une professionnelle est passée à 13h25 et quand la suivante est arrivée, à 13h30, elle a découvert le petit ensanglanté et mordu."

Ensuite? "Il y avait beaucoup de bruit dans la pièce, des cris, relate Marie*, une membre de l’équipe. Tout le monde a écourté sa pause pour pouvoir assurer les soins. Sacha a été vu par la directrice, qui est infirmière."

"On ne saurait pas dire s’il a vu le médecin, il y en a un qui est référent sur la crèche mais il n’est pas présent sur place. Il a ensuite repris la section et la directrice nous a dit qu’elle serait là pour accueillir la maman le soir."

Ce qui a été fait, selon la mère de l’enfant. Mais cet accident "ne vient pas du fait qu’on se fout des enfants, qu’on ne s’en occupe pas, tranche Sonia. Pour nous qui sommes des professionnelles engagées dans ce travail, ça n’est pas entendable".

Depuis, l’ambiance est lourde dans le quartier Vosgelade: "Pour l’instant la direction ne nous dit rien, c’est l’omerta. On nous annonce juste: ''On discutera de tout ça plus tard''", souffle cette même dame.

Les troupes sont usées, des arrêts maladies pleuvent: "Quand j’entends le mot négligence ça me fait mal, mon métier c’est ma vie. [...] Je n’ai pas choisi ce travail ni par hasard ni pour le salaire."

Les moyens mis en œuvre ne seraient pas suffisants pour travailler efficacement. "On en est à faire des choix et il y a peut-être eu un mauvais choix de fait, regrette Dominique avec dépit. Avec un quota mieux ciblé, il y aurait eu quelqu’un dans le dortoir durant toute la sieste."

Fixés par l’État, ces quotas ne prendraient pas suffisamment en compte la réalité du terrain.

Marquées par les réactions parfois acerbes, sur les réseaux sociaux et même en face-à-face, ces employées ne cherchent pas à se défausser mais confient subir la situation: "On est en souffrance, les textes de loi nous donnent une charge énorme, appuie Sonia. On est 1 pour 8 enfants qui marchent et 1 pour 5 enfants qui ne marchent pas. Je ne sais pas si les gens réalisent la charge de travail, la vigilance qu’on doit avoir. [...] On a déjà tiré des sonnettes d’alarme en disant que les quotas n’étaient pas réalisables. On nous dit toujours: ‘‘Vous êtes dans les effectifs’’. Oui, si on se fie au papier on est dedans. Mais ceux qui font les lois ne sont pas ceux qui travaillent sur le terrain. Un moment donné on n’est pas des poulpes."

Ces professionnelles n’hésitent pas à parler de drame au sujet de l’accident de la semaine dernière. Comment éviter qu’une telle situation se reproduise?

"Il faut plus de personnel, avance Sonia. [...] Ça fait trois ans que je dis qu’on n’est pas assez. J’appelle ça de la maltraitance institutionnelle. [...] On donne notre temps et notre savoir mais il y a tout un système autour qui nous dépasse. Des drames comme Sacha, il y en aura d’autres si on reste dans les mêmes circonstances. Il y a du personnel qui s’épuise et quand vous êtes épuisé, vous êtes moins vigilants et moins alertes."

Dominique résume la pensée: "On croise toujours les doigts. Quand on quitte le travail en ayant rendu les enfants en bonne santé, ouf, là on peut souffler!" Certaines professionnelles confient même réfléchir au sens à donner à la suite de leur carrière.



Tout le monde a écourté sa pause ?? Pourquoi, elles prennent toutes la pause en même temps ???
Et nous on regarde pour aller faire pipi........
 Bidibulle est absentBidibulleSexe : Féminin 
Modératrice



Message  27.11.2023 13:25:40   Répondre en citant  

Elles essaient de se dédouaner....
Mais personnel ou pas, il y a un manque de surveillance.

Si quelqu'un passe toutes les 5 minutes, il y aurait eu une alerte....
Quand un enfant hurle ça s'entend !!!

Désolée mais là je ne leur donne pas raison.
 mamecat est absentmamecatSexe : Féminin 



Message  28.11.2023 09:55:25   Répondre en citant  

on ne sait pas vraiment comment ça s'est passé
tout ce que je vois c'est un enfant en souffrance qui n'a pas été surveillé.

chacun se rejettera la faute mais c'est trop tard, le mal est fait.
 Evelyne est absentEvelyneSexe : Féminin 



Message  29.11.2023 19:10:37   Répondre en citant  

grand dieu !!!!
il est tombé dans une embuscade de bébés ou quoi ?????
 Manou est absentManouSexe : Féminin 
Administratrice



Message  13.12.2023 09:47:33   Répondre en citant  

Cette histoire a fait du bruit. Bien au-delà des frontières de la commune. Mi-novembre, des parents retrouvent leur bébé d’un an, inscrit à la crèche Arman, à Vence, couvert de morsures commises visiblement par un autre enfant.

Quelques jours plus tard, plusieurs employées de la structure, située dans le quartier Vosgelade, ont confié dans nos colonnes leur épuisement psychologique, dû au manque de personnel. Les quotas fixés par l’État (1) ne prendraient pas en compte la réalité du terrain et seraient insuffisants pour travailler efficacement.
En conseil municipal, fin novembre, Patrick Scalzo, chef de file de l’opposition, a interrogé le maire de Vence, Régis Lebigre, au sujet de cette affaire.

"L’enquête de gendarmerie nous dira si les quotas étaient respectés le jour du drame", a partagé Patrick Scalzo. "Nous aimerions connaître votre position sur cette affaire et vous faire une suggestion. La gestion de la crèche est régie au travers d’un contrat de délégation de service public [DSP], entre la Mutualité française et la mairie. Il paraît indispensable d’augmenter les effectifs, pour éviter qu’un autre drame se produise." L’opposant a suggéré d’établir un avenant au contrat de DSP. "Le coût serait en partie assumé par la Mutualité française, afin d’améliorer sa qualité de service. La Ville complétera si besoin, dans le cadre de sa subvention d’équilibre." Et d’appuyer: "La municipalité est responsable de la bonne exécution du service public délégué. Elle se doit d’avoir un rôle proactif."

Le maire, Régis Lebigre, a rappelé les démarches qui ont été opérées par la Ville après le "drame": "Nous avons sollicité les services de la Mutualité française pour avoir des explications. En parallèle, nous nous sommes mis en lien avec la PMI."

La suggestion d’avenant de son opposant, l’édile l’a balayée de la main. "Il est prématuré de tirer des conclusions hâtives et de prévoir d’ores et déjà un avenant au contrat de DSP pour augmenter les effectifs. Les enquêtes menées en parallèle par la gendarmerie et par la PMI détermineront les causes de cet incident grave."

Régis Lebigre a soulevé par ailleurs le fait que ces mêmes quotas "fonctionnent sur d’autres établissements." Mais il a admis qu’au vu "des articles de presse, il semble qu’il existe une souffrance du personnel, bien qu’aucune difficulté n’ait été mentionnée en conseil de crèche, dont le dernier en date s’est tenu la veille de l’incident." Et de conclure: "Nous serons très attentifs aux conditions de travail du personnel."

Patrick Scalzo a soupiré: "Je proposais cette mesure comme transitoire, afin de rassurer les familles en attendant de savoir ce qui réellement passé et dans quelles conditions."

(1) Une assistante maternelle pour 8 enfants qui marchent, et une pour 5 enfants ne marchant pas.
 Christeo est absentChristeoSexe : Féminin 



Message  13.12.2023 18:01:20   Répondre en citant  

Y'a pas de secret ! Le boulot n'a pas été fait point !!
 Christeo est absentChristeoSexe : Féminin 



Message  18.12.2023 05:26:02   Répondre en citant  

 
Répondre au sujet  Revue de presse Page 1 sur 1  Revenir en haut
Qui est en ligne ?
Qui est en ligne ? Il y a en tout 494 utilisateurs en ligne : 0 Enregistré, 494 Invités
Utilisateurs enregistrés : Aucun